Agenda

Cinq danseurs font face à l’effondrement du monde. Sur cette petite Terre abstraite et penchée, le cirque est alors un medium d’expérimentation de la force magnétique.

Collapsing Land questionne notre déterminisme face aux désaccords et influences culturelles, politiques, économiques et sociales et reflète ce qui nous pousse, malgré nous, dans une course effrénée contre la montre. Dans différents domaines de nos vies, nous avons le sentiment d’être “dépossédé.es” sans parvenir, le plus souvent, à identifier les mécanismes qui nous gouvernent et nous poussent dans un mouvement dont nous avons perdu le contrôle.

Une soirée placée sous le signe de l’humour, où tout peut arriver!
Dans une ambiance swing, cosy et gourmande inspirée de la pâtisserie et des jazz clubs, insufflée par des improvisations musicales, venez commencer le mois et le week-end par un moment de détente !

Signé du réalisateur légendaire Ridley Scott, Gladiator II poursuit sa plongée épique dans la Rome Antique sur fond de pouvoir, intrigue et vengeance. Des années après avoir assisté à la mort du héros vénéré Maximus aux mains de son oncle, Lucius (Paul Mescal) est forcé d’entrer dans le Colisée lorsque son pays est conquis par les empereurs tyranniques qui gouvernent désormais Rome d’une main de fer. La rage au cœur et l’avenir de l’Empire en jeu, Lucius doit se tourner vers son passé pour trouver la force et l’honneur de rendre la gloire de Rome à son peuple.

Signé du réalisateur légendaire Ridley Scott, Gladiator II poursuit sa plongée épique dans la Rome Antique sur fond de pouvoir, intrigue et vengeance. Des années après avoir assisté à la mort du héros vénéré Maximus aux mains de son oncle, Lucius (Paul Mescal) est forcé d’entrer dans le Colisée lorsque son pays est conquis par les empereurs tyranniques qui gouvernent désormais Rome d’une main de fer. La rage au cœur et l’avenir de l’Empire en jeu, Lucius doit se tourner vers son passé pour trouver la force et l’honneur de rendre la gloire de Rome à son peuple.

Signé du réalisateur légendaire Ridley Scott, Gladiator II poursuit sa plongée épique dans la Rome Antique sur fond de pouvoir, intrigue et vengeance. Des années après avoir assisté à la mort du héros vénéré Maximus aux mains de son oncle, Lucius (Paul Mescal) est forcé d’entrer dans le Colisée lorsque son pays est conquis par les empereurs tyranniques qui gouvernent désormais Rome d’une main de fer. La rage au cœur et l’avenir de l’Empire en jeu, Lucius doit se tourner vers son passé pour trouver la force et l’honneur de rendre la gloire de Rome à son peuple.

Deux scientifiques issus du G.I.R.A.F.E. — Groupe International de Recherche pour Automatiquement Fédérer les Électeurs — prétendent avoir trouvé une méthode qui, si elle est suivie à la lettre, permet d’emporter n’importe quel affrontement électoral.

L’art d’avoir toujours raison est un spectacle qui prend le contrepied et vise à transmettre des techniques de manipulation, révélant ainsi certaines des stratégies de propagande auxquelles nous sommes quotidiennement confrontés.

Deux scientifiques issus du G.I.R.A.F.E. — Groupe International de Recherche pour Automatiquement Fédérer les Électeurs — prétendent avoir trouvé une méthode qui, si elle est suivie à la lettre, permet d’emporter n’importe quel affrontement électoral.

L’art d’avoir toujours raison est un spectacle qui prend le contrepied et vise à transmettre des techniques de manipulation, révélant ainsi certaines des stratégies de propagande auxquelles nous sommes quotidiennement confrontés.

“À toutes celles et tous ceux qui auraient vu mes solos précédents.
Bien, alors, vous pouvez venir voir le nouveau si les autres vous ont plu.
C’est la même famille.

Comme disent certains hommes politiques : le changement est nécessaire ! La seule différence entre eux et moi, c’est qu’eux ne changent pas grand-chose. Moi, si. Je change de spectacle.

Je vais donc encore une fois essayer de rire avec vous des choses souvent ridicules que les humains font. De la vie et du monde. Et de moi aussi, un peu. Parce que je le vaux bien.”

Serge Papagalli

Salle numérotée