Agenda

Si l’on regarde les lauréats de la médaille Fields depuis la création du prix en 1936, sur les 52 médailles
décernées, pas une seule n’a été attribuée à une femme.
Depuis la réforme du lycée en 2019, les mathématiques ne sont plus obligatoires à partir de la première.
Résultat : le nombre de filles inscrites a drastiquement diminué.
Pourquoi les filles font-elles de moins en moins de maths ?
Elles n’étaient déjà qu’à peine un tiers dans les classes prépas MPSI, qui mènent aux écoles d’ingénieurs, elles ne sont plus qu’un quart depuis le nouveau bac.
Le paradoxe c’est que les filles sont toujours meilleurs que les garçons jusqu’en
terminale. Alors pourquoi cette désaffection ?
Y aurait-il des différences de type biologique entre un cerveau masculin et un cerveau
féminin ?
Comment peut-on expliquer cette désaffection féminine pour les carrières scientifiques en général et mathématiques en particulier. Sexisme biologique ou sexisme culturel ?
Un petit tour dans notre histoire pour débusquer toutes les mathématiciennes de
Pythagore à nos jours nous permettra peut être d’apporter un éclairage différent sur cet
absence de parité.
Conférence animée par Serge Cecconi

La révolution Française et les Mathématiques

Ni partitions ni pupitres, mais un orchestre mouvant et dansant pour réinterpréter par coeur deux chefs-d’oeuvre du répertoire. Le Geneva Camerata et son chef David Greilsammer accueillent parmi eux le chorégraphe et danseur Juan Kruz Díaz de Garaio Esnaola pour un spectacle hors norme, dans lequel le mouvement donne à entendre la musique comme jamais.

De la grâce lumineuse de Lully à la passion tourmentée de Mozart, le spectacle se mue en un voyage sensible comme un songe, grâce à l’inventivité, à l’audace et à la complicité de ces artistes explorateurs. Tous les repères s’effacent, pour laisser place à la poésie et à l’émotion brute. Une performance unique aux échos saisissants, saluée par la presse internationale.

La Librairie Au Bord du Jour accueille l’auteur Aurélien Delsaux le vendredi 10 mars à 19h pour son roman Requiem pour la classe moyenne.

C’est le pari fou d’une mère prête à tout pour aider son fils à se réveiller du coma. Après l’accident de Louis, 12 ans, Thelma décide de réaliser à sa place les ” 10 choses à faire avant la fin du monde ” qu’il avait inscrites dans son journal intime. En écoutant ces aventures, Louis verra combien la vie est belle et qu’il doit revenir ! En accomplissant à quarante ans les rêves d’un ado, Thelma va vivre un voyage incroyable qui l’emmènera bien plus loin que ce qu’elle imaginait…

Concert Jazz Club de Voiron Alfio Origlio & Mike Cheret Duo

12 mars 2023 17h30 , ouverture portes 17h

Alfio Origlio, pianiste compositeur, collabore avec les plus grands artistes et musiciens de la scène française et internationale : Salif Keïta, Manu Katché, André Ceccarelli, Henri Salvador, Pierre Bertrand, Sting .
Au delà des collaborations nombreuses et prestigieuses, il compose pour ses propres projets. Il a enregistré quatorze albums en tant que leader.

Michael Cheret joue du saxophone, compose, et enseigne au conservatoire de Lyon.
Il se produit dans des groupes aussi divers que Damon Brown quintet, We five quintet (feat Jim Rotondi ), ou aux cotés d’artistes américains comme Scott Hamilton, Ralph Bowen, Frank Lacy, Ralph Moore et d’autres, mais aussi et surtout au sein de sa propre formation qui évolue au rythme de ses compositions. Discographie récente en leader : French songs avec Scott Hamilton, Caliente avec Alfio Origlio.

Le concert des deux complices, maitres de leur instrument respectif, sera prétexte à partir à l’aventure de l’improvisation sur les grands standards du jazz et sur leurs belles compositions.

Alfio Origlio – piano
Mike Cheret – saxophone

Depuis un demi-siècle, les citoyens-musiciens de Sebatu, d’abord remarqués pour leur musique cérémonielle, ont étendu leur répertoire pour jouer sur les scènes européennes, notamment aux côtés de Pierre Boulez au festival d’Aix-en-Provence ou au Palais Garnier.
Ce spectacle est l’occasion de retrouver le style kebyar du XXe siècle, musique « de compétition » virtuose qui a donné naissance à un style de danse à la fois androgyne et d’une abstraction toute musicale. La seconde partie, avec une instrumentation différente, présente le célèbre Legong Kraton (ballet royal) « Lasem », où les masques et le choeur chorégraphié nous entraînent dans un récit mythique, entre dépassement de soi et résonance cosmique. Virtuosité musicale, mariage des timbres, envoûtement de la danse font de cette performance un voyage inoubliable.

1re partie – Florilège : danse de couples et solos virtuoses
2e partie – Récit initiatique : ballet royal, ballet de masques et Kecak

En partenariat avec le Conservatoire de Voiron et le Centre des Cultures du Monde