Agenda

Un cycle de cours de prévention des chûtes, réalisés par un animateur. 12 séances à compter dulundi 04/02/2019, de 14h à 15h, hors vacances scolaires, et ce, jusqu’au lundi 20/05/2019, au CCAS de VOIRON, salle Marcelle BOUDIAS. Inscription auprès du CCAS de Voiron. Groupe de 15 personnes maximum.

Venez échanger entre parents autour des questions de la parentalité. Gratuit, confidentiel, sans inscription.
En partenariat avec le centre social RIH.

Dans le cadre du Voiron Hauts Talons Festival, Valérie Brun animera une conférence à partir de son livre « Bleu horizon ».
Une famille française prise dans la tourmente de la Grande Guerre de 14/18. Quand Jean, l’ancien instituteur du village, revient de la guerre, son épouse Emma, également institutrice dans un village près de Tullins comprend qu’en plus de ses blessures physiques, il est aussi atteint moralement et qu’il ne lui dit pas la vérité.

À l’heure où la peur gagne du terrain, où la société semble se replier sur elle-même, Yan Raballand veut questionner le passage de l’immobilisme au mouvement, le soulèvement des corps en quête d’un nouvel élan.

Aux mouvements des 8 danseurs, répondront les trajectoires de 6 projecteurs automatiques, partenaires vivants d’une respiration commune. De l’entrée dans un tunnel, plongée instantanée dans l’obscurité, à sa sortie éblouissante, cette construction lumineuse préalable servira de terrain de jeu à l’écriture chorégraphique.

Révéler une alchimie de relation plutôt qu’une juxtaposition, voilà l’endroit et l’idée philosophique que le contrepoint transporte, à travers la rigueur de sa composition et l’attention sensible des interprètes entre eux. Une délicate précision, un espoir dans le rapport humain.

Après Annette de Fabienne Swiatly, la compagnie Les Transformateurs revient avec Ça marchera jamais, une variation sur le thème de l’échec. « On parle peu de nos échecs et pourtant ils nous marquent d’une manière aussi profonde que nos réussites. Comme Achille, le héros légendaire de la guerre de Troie, nous avons tous nos points faibles. Moi par exemple, mon talon d’Achille c’est la dyslexie.
Je suis un « dys ». J’ai un dysfonctionnement. Et je fais du théâtre. Je fais du théâtre dyslexique.
Dans Ça marchera jamais, je veux décliner théâtralement l’échec avec des mots, des images, du mouvement, de la lumière, de la musique. Je veux que cette variation explore poétiquement les diverses facettes de l’échec, qu’elles soient positives ou négatives. Alors, quand il s’agit d’écrire la note d’intention de ce spectacle, je me dis :
Ça
march
era
jama
is. »
Nicolas Ramond

Parce qu’on peut aussi se former sur le terrain, la Maison de l’Emploi des Pays Voironnais et Sud Grésivaudan organise, en collaboration avec Pôle emploi et les différents partenaires locaux, un FORUM consacré à l’alternance.

Ouvert à tous, ce forum permettra au public de s’informer sur les contrats existants (apprentissage et professionnalisation) et d’échanger avec des professionnels. Des centres de formation en alternance et des partenaires comme la Chambre des Métiers et de l’Artisanat, la Chambre de Commerce et d’Industrie seront présents pour proposer des informations personnalisées sur les contrats et les techniques de recherche d’emploi.

Ce forum se déroulera le mercredi 6 mars 2019 de 10h à 16h à la Salle des Fêtes de Voiron – Entrée libre sans inscription.

Courant février, une page sera dédiée à cet événement sur notre site internet et reprendra notamment l’ensemble des intervenants présents.

À l’heure où la peur gagne du terrain, où la société semble se replier sur elle-même, Yan Raballand veut questionner le passage de l’immobilisme au mouvement, le soulèvement des corps en quête d’un nouvel élan.

Aux mouvements des 8 danseurs, répondront les trajectoires de 6 projecteurs automatiques, partenaires vivants d’une respiration commune. De l’entrée dans un tunnel, plongée instantanée dans l’obscurité, à sa sortie éblouissante, cette construction lumineuse préalable servira de terrain de jeu à l’écriture chorégraphique.

Révéler une alchimie de relation plutôt qu’une juxtaposition, voilà l’endroit et l’idée philosophique que le contrepoint transporte, à travers la rigueur de sa composition et l’attention sensible des interprètes entre eux. Une délicate précision, un espoir dans le rapport humain.

Après Annette de Fabienne Swiatly, la compagnie Les Transformateurs revient avec Ça marchera jamais, une variation sur le thème de l’échec. « On parle peu de nos échecs et pourtant ils nous marquent d’une manière aussi profonde que nos réussites. Comme Achille, le héros légendaire de la guerre de Troie, nous avons tous nos points faibles. Moi par exemple, mon talon d’Achille c’est la dyslexie.
Je suis un « dys ». J’ai un dysfonctionnement. Et je fais du théâtre. Je fais du théâtre dyslexique.
Dans Ça marchera jamais, je veux décliner théâtralement l’échec avec des mots, des images, du mouvement, de la lumière, de la musique. Je veux que cette variation explore poétiquement les diverses facettes de l’échec, qu’elles soient positives ou négatives. Alors, quand il s’agit d’écrire la note d’intention de ce spectacle, je me dis :
Ça
march
era
jama
is. »
Nicolas Ramond

Jeudi 7 mars 2019 : Femmes remarquables de l’Isère – Mme Brigitte Périllié
Natives de L’Isère, de passage ou d’adoption, elles ont toutes honoré notre département par leur talent, leur esprit, leurs capacités d’action ou d’innovation.
Artistes, écrivaines, scientifiques, résistantes, cheffes d’entreprises, sportives, elles sont pour beaucoup d’entre elles entrées lentement dans l’oubli ou presque… Pourtant, leur vie et leurs liens avec l’Isère méritent qu’on s’y attarde et de voir comment un certain nombre d’entre elles peuvent inspirer nos édiles pour nommer les rues et les équipements qu’ils créent et, pour les nouvelles générations, guider leurs désirs et conduire leur propre vie, ou tout simplement connaître leur histoire.

L’Europe et l’Amérique entretiennent de nombreux liens musicaux. D’un côté, des figures telles qu’Antonín Dvořák qui effectua une tournée triomphale aux États-Unis et qui acceptera la brève direction du Conservatoire de New York entre 1892 et 1895 et de l’autre, Aaron Copland et Astor Piazzolla qui suivront en France l’enseignement de Nadia Boulanger.

En parlant d’Amériques au pluriel, le programme explore la géographie des deux continents. Si Dvořák explore les influences des Amérindiens du Nord, le reste du programme explore le Far West de Copland, mais aussi l’Amérique du Sud dansante du compositeur vénézuélien Aldemaro Romero ou encore la nostalgie porteña d’Oblivion d’Astor Piazzolla.

Un programme qui transmet l’énergie et les émotions véhiculées par ces musiques, renforcées par l’immédiateté et l’échange qu’offre la configuration d’un orchestre de chambre.