Agenda

L’une est comédienne-chanteuse, l’autre est compositeur-interprète.
L’amour de la littérature, du théâtre et de la chanson les réunit, comme l’envie de dévaliser le répertoire de la chanson. Ces textes sont le fruit de la rencontre entre un écrivain et un interprète, une forme de fulgurance, de pulsion.

Sur le plateau, un piano, des chansons d’auteurs de roman et de théâtre, des mots noirs, décapants et souverains. Ceux de Marguerite Duras, Olivier Py, Michel Houellebecq, Sacha Guitry, Patrick Modiano, Yves Simon, Philippe Djian… le temps d’un manuscrit recommencé toutes les trois minutes, le temps d’une chanson.

Parés de costumes extravagants et chatoyants du dix septième, les élèves comédiens des ateliers Casalibus vous offrent cette comédie folâtre qui ne fut jouée que 2 fois à sa création en 1734. Cette pièce oppose le ridicule des apparences mondaines à la sincérité rustique d’être soi. Marivaux, avec son petit Maître corrigé, excelle à décrypter nos ambiguïtés.
Dans un désordre affecté de manière et de sensibilité se joue une comédie piqué du sentiment amoureux.
La vérité de l’être dépeinte sous tous ses masques.
Mise en scène et costumes : Monika Regattieri

L’une est comédienne-chanteuse, l’autre est compositeur-interprète.
L’amour de la littérature, du théâtre et de la chanson les réunit, comme l’envie de dévaliser le répertoire de la chanson. Ces textes sont le fruit de la rencontre entre un écrivain et un interprète, une forme de fulgurance, de pulsion.

Sur le plateau, un piano, des chansons d’auteurs de roman et de théâtre, des mots noirs, décapants et souverains. Ceux de Marguerite Duras, Olivier Py, Michel Houellebecq, Sacha Guitry, Patrick Modiano, Yves Simon, Philippe Djian… le temps d’un manuscrit recommencé toutes les trois minutes, le temps d’une chanson.

Parés de costumes extravagants et chatoyants du dix septième, les élèves comédiens des ateliers Casalibus vous offrent cette comédie folâtre qui ne fut jouée que 2 fois à sa création en 1734. Cette pièce oppose le ridicule des apparences mondaines à la sincérité rustique d’être soi. Marivaux, avec son petit Maître corrigé, excelle à décrypter nos ambiguïtés.
Dans un désordre affecté de manière et de sensibilité se joue une comédie piqué du sentiment amoureux.
La vérité de l’être dépeinte sous tous ses masques.
Mise en scène et costumes : Monika Regattieri

“5 siècles de musique sacrée”

Pour leur concert de printemps, la chorale Les Ménestrels de Voiron reçoit la chorale de Venon (Isère).
Entre autres oeuvres, seront interprétées des pièces de Mozart, Telemann, F.A. Guilmant, etc.
La chorale de Venon ​interprétera l’oeuvre Stella Natalis de Sir Karl Jenkins.

Parés de costumes extravagants et chatoyants du dix septième, les élèves comédiens des ateliers Casalibus vous offrent cette comédie folâtre qui ne fut jouée que 2 fois à sa création en 1734. Cette pièce oppose le ridicule des apparences mondaines à la sincérité rustique d’être soi. Marivaux, avec son petit Maître corrigé, excelle à décrypter nos ambiguïtés.
Dans un désordre affecté de manière et de sensibilité se joue une comédie piqué du sentiment amoureux.
La vérité de l’être dépeinte sous tous ses masques.
Mise en scène et costumes : Monika Regattieri

Parés de costumes extravagants et chatoyants du dix septième, les élèves comédiens des ateliers Casalibus vous offrent cette comédie folâtre qui ne fut jouée que 2 fois à sa création en 1734. Cette pièce oppose le ridicule des apparences mondaines à la sincérité rustique d’être soi. Marivaux, avec son petit Maître corrigé, excelle à décrypter nos ambiguïtés.
Dans un désordre affecté de manière et de sensibilité se joue une comédie piqué du sentiment amoureux.
La vérité de l’être dépeinte sous tous ses masques.
Mise en scène et costumes : Monika Regattieri

Concert de l’ensemble de clarinettes de Voiron avec Florian Nauche, violoncelliste soliste.

L’Ensemble de Clarinettes de Voiron organise son concert de Printemps et invite le violoncelliste Florian Nauche, professeur au Conservatoire de Voiron. Au programme de ce concert : Fauré, Bruch, Dvorák.

Parés de costumes extravagants et chatoyants du dix septième, les élèves comédiens des ateliers Casalibus vous offrent cette comédie folâtre qui ne fut jouée que 2 fois à sa création en 1734. Cette pièce oppose le ridicule des apparences mondaines à la sincérité rustique d’être soi. Marivaux, avec son petit Maître corrigé, excelle à décrypter nos ambiguïtés.
Dans un désordre affecté de manière et de sensibilité se joue une comédie piqué du sentiment amoureux.
La vérité de l’être dépeinte sous tous ses masques.
Mise en scène et costumes : Monika Regattieri