Agenda

Dans le cadre du festival de théâtre Les Tréteaux de Voiron 2024.
Par la Compagnie I Have a Dream (92).

Ce sont quatre femmes qui ne se seraient jamais rencontrées sans la guerre, s’il n’y avait pas eu un combat plus grand qu’elles à mener. Elles n’ont pas le même âge, ne viennent pas des mêmes milieux sociaux, n’ont pas le même passé, pas les mêmes aptitudes, mais elles ont choisi de dire non. Non à l’Occupation nazie, à la privation de liberté, à l’injustice qui frappe les Juifs. Alors dans cet appartement lyonnais dont les occupants ont été déportés, au 5e étage, Armande, tireuse d’élite au langage fleuri, Claire, mécanicienne préparant des bombes, Solange, à la radio, son casque vissé sur les oreilles et Marthe, l’aînée, cheffe du groupe, préparent leurs missions, cohabitent, s’engueulent parfois et se réconfortent. Un jour un message intercepté leur donne l’occasion d’accomplir la mission ultime qui mettra un point final à la guerre

Dans le cadre du festival de théâtre Les Tréteaux de Voiron 2024.
Par la Compagnie Mutualiste de la Dernière Chance (91).

Devant leur petit garçon, ils dansent sur «Mr. Bojangles» de Nina Simone. Leur amour est magique, vertigineux, une fête perpétuelle. Chez eux, il n’y a de place que pour le plaisir, la fantaisie. Celle qui mène le bal, c’est la mère, feu follet imprévisible et extravagant. Elle n’a de cesse de les entraîner dans un tourbillon de poésie et de chimères. Un jour, pourtant, elle ira trop loin et père et fils feront tout pour éviter l’inéluctable, pour que la fête continue, coûte que coûte. L’amour fou n’a jamais si bien porté son nom.

12 OCT.14H DECOUVRIR VOIRON AVEC AVF ET RACONT ART CONTES RDV DEVANT ST BRUNO GRATUIT

Si faible pluie, usage des parapluies. Si forte pluie, report à une date non définie

Dans le cadre du festival de théâtre Les Tréteaux de Voiron 2024.
Par le Théâtre du Sycomore (07).

Des journalistes sans vergogne, un entomologiste benêt accompagné d’une scientifique russe psychorigide et nièce de Vladimir Poutine, un agent secret bas du front, un berger monolithique et une réserve naturelle habitée par des créatures mythologiques. Dans cette farce écolo-trash, ouvertement inspirée du Songe d’une nuit d’été, l’humour et la caricature sont aussi féroces que l’humain peut être bête et méchant. Une comédie monstrueuse moitié Shakespeare – moitié Monty Python.

Autour de son nouvel album Mother Nature, Angélique Kidjo partage un moment vibrant où traditions ouest-africaines de son enfance et modernité avec des sonorités R&B, funk et jazz américains se rencontrent en un tourbillon de rythmes et d’émotions.

C’est au travers de ce projet composé aux côtés de jeunes artistes mondialement connus, qu’Angélique écrit une lettre d’amour à Mère Nature et à toutes les valeurs qui nous sont chères afin de célébrer la musique dans la joie et l’unicité.

Dans le cadre du festival de théâtre Les Tréteaux de Voiron 2024.
Par la Compagnie la Divine Comédie (78).

Paul fait croire à Sophie que son meilleur ami Martin, venant de perdre sa mère, va venir s’installer quelque temps chez eux. Il veut en réalité la quitter, pensant que ce ménage à trois fera exploser leur couple… Martin, pris au piège, accepte. Mais ce sera “une semaine… pas plus !” Démarre alors un ménage à trois totalement explosif, “véritables” chaises musicales avec son lot de mensonges, de coups bas et autres plaisirs quotidiens.

À Bornéo, à la lisière de la grande forêt tropicale, Kéria recueille un bébé orang-outan trouvé dans la plantation de palmiers à huile où travaille son père. Au même moment Selaï, son jeune cousin, vient trouver refuge chez eux pour échapper au conflit qui oppose sa famille nomade aux compagnies forestières. Ensemble, Kéria, Selaï et le bébé singe vont lutter contre la destruction de la forêt ancestrale, plus que jamais menacée. Mais pour Kéria, ce combat sera aussi l’occasion de découvrir la vérité sur ses origines.

Projection suivie d’un débat retransmis en direct avec l’équipe du film de 19h à 20h

Dans le cadre du festival de théâtre Les Tréteaux de Voiron 2024.
Par le Collectif Goujes de là (38).

Depuis des siècles, les femmes subissent violences et injustices, quelles que soient les époques ou les cultures. Certaines tombent, d’autres résistent et se redressent. Des femmes et des hommes se mobilisent et luttent dans leur foyer, dans la rue, dans les associations, dans les instances politiques, dans les tribunaux… D’autres écrivent des poèmes, des chansons, des romans, des pièces de théâtre pour que la violence ne se répande pas dans le silence. Juste des femmes rend hommage aux victimes et aux combattantes. C’est un geste d’amour et de respect au travers des textes notamment d’Anne Sylvestre, Bernard-Marie Koltès, Dorothy Parker, Taslima Nasreen, Magali Mougel, Linda Lemay, Virginie Despentes, Forough Farrokhzad, Sylvain Tesson, Maram al-Masri, Georges Moustaki, Hanadi Zarka, Francis Bebey, Clara Luciani, Linda McLean, Yves Jamait, Georges Brassens, Arthur H… Ce n’est pas que du théâtre, que des lectures, que des chansons… C’est tout ça à la fois.

Dans le cadre du mois “Ouzbékistan si loin si proche…”(progr. Centre des Cultures du Monde), deux artistes exposent leurs regards sur le mouvement et la danse. Edyta Tolwinska, photographe franco-polonaise et Bobur Alimkhodjaev, photographe ouzbek.