Agenda

Véronique
LE MARC’HADOUR
Passer le Guiers

du 24/04 au 25/05/2024

Il est des lieux qui vous reconnaissent et vous chuchotent- « Ah, c’est toi ! Je t’attendais »

Tu entends l’appel et tu parcours cette vallée étroite si étrangement familière. Tu marches le long du torrent aux eaux vives, tu respires l’odeur poivrée des larges pétasites envahissant ses berges. Tu te reconnais dans cette évidente et mystérieuse rencontre. Au fil des flux puissants sont appa-rus l’enfant, la femme, la grand-mère, tous ces ages vécus si vite, sans y penser. Et tu dis : « Je suis la »

du 24/04 au 25/05/2024
VERNISSAGE le vendredi 26 avril à 18h
L’artiste sera présent tous les samedis pendant la durée de l’exposition.
Du mercredi au samedi de 14h30 à 18h30

Jeudi 25 avril 2024 à 10h30 ► Enquête au musée ! En famille, venez résoudre le mystère caché dans les toiles du musée. Une visite ludique des collections pour découvrir les œuvres tout en s’amusant ! Visites adaptées aux 5-9 ans.

Les Caves de la Chartreuse vous proposent un nouveau rendez-vous mensuel chaque premier jeudi du mois en nocturne. Venez découvrir librement et plus en détails nos 1200 pièces patrimoniales exposées. Déambulez dans nos espaces à votre rythme. Nos guides seront présents pour répondre à vos questions.

Tarifs :

Adultes : 12€

Réduit : 9€

Gratuité : Enfants – de 12 ans

Venez découvrir en avant-première l’exposition des œuvres de l’aquarelliste Jean-Paul Olivari.

Exposition et démonstration.

18 mai de 8h30 à 12h et de 14h à 17h30

Verre et Lumière

Samedi 25 mai 2024 à 15h ► Redécouvrez les collections du musée Mainssieux à l’occasion des visites guidées thématiques pour poser un autre regard sur les œuvres. Visites adaptées dès 10 ans.

Des collages monumentaux d’images en trompe-l’œil immergent le spectateur dans une mise en abyme photographique.
Cette installation, hommage à la perspective de la Renaissance et aux spectacles populaires des panoramas et dioramas du XIXème siècle, représente des maquettes «tailles réelles» d’architectures emblématiques de Voiron comme autant d’éléments d’une cité idéale en construction.
Ce chantier est aussi celui-de l’image. Une image qui serait si «vraie» qu’elle se confondrait avec le réel.
C’est l’utopie de la Photographie, première “nouvelle technologie” révolutionnant le rapport de la représentation au réel qui, en modifiant le regard sur le monde, changerait le monde lui-même.
Il n’y a qu’un seul point de vue «idéal» pour que l’illusion fonctionne. Mais en se déplaçant, le spectateur expérimente une infinité d’autres possibles et pose un nouveau regard sur des réalités alternatives.

Exposition
du 1er au 30 juin 2024 de 14h30 à 18h00
ouvert mercredi, vendredi, samedi et dimanche

Vernissage
samedi 1er juin à 18h00

Rencontre avec l’artiste
dimanche 2 juin de 10h00 à 12h00

Dans le cadre de l’exposition “Perspectives”.

Qui êtes-vous Serge Bilous ?
“À 18 ans je découvre la photographie dans mes études d’art à l’université Paris VIII. Elle était abordée sous tous ses aspects : techniques, historiques…
Au même moment, dans les années 90 on assiste à un developpement fulgurant de l’informatique.
Je me suis intéressé aux utopies photographiques, à savoir les discours sur la photographie à ses débuts, pour les relier à ceux formulés à l’apparition de l’informatique.
J’ai participé au cd-rom 18:39 (une utopie photographique réalisée. cd-rom édité
par Flammarion).
J’ai travaillé sur différents projets photographiques (auto-éditions de livres, expositions…) puis, en 2008, j’ai commencé à coller des images dans la rue, je n’ai pas arrété depuis.
Dans ma pratique, je m’intéresse au rapport qu’entretiennent l’image photographique et le réel.
Je travaille avec la photographie. Je la découpe, la colle, je la photographie à nouveau… je la mets en abyme et je cherche, en confondant image et réalité, à ce que le spectateur doute de la nature de ce qu’il regarde.
Je suis graphiste de formation, utlisant la photographie pour mes travaux éditoriaux.
J’ai également réalisé des illustrations pour la presse, en photographiant des mises en scènes de photographies.”