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Olivier Saladin / Théâtre de l’Atelier

Le comédien Olivier Saladin s’empare avec brio de ce conte médical délirant, véritable course-poursuite burlesque dans un hôpital. On est emporté par l’histoire d’un interne en médecine qui n’a de préoccupation que celle de l’intitulé de sa prochaine carte de visite. Sa garde aux urgences une nuit devient un véritable cauchemar face à un malade qui rassemble à lui seul une multitude de symptômes atypiques.

Le style de ce trio passe du «mainstream» au «cool jazz», voire au «latin jazz». La couleur sonore du vibraphone mêlée au ciselé de la guitare ne sera pas sans rappeler un petit clin d’œil destiné à de grands jazzmen, tels que Bobby Hutcherson et Kenny Burrel ou encore Grant Green.

Ce duo est l’expression la plus évidente de notre longue amitié. Tout ce temps passé, au-delà et avec
la musique, s’entend dans ce format : le discours, l’écoute et l’échange d’idées y sont très fluides. Le
but étant quand même toujours de se surpasser et surprendre l’autre… Ce qui nous réussit souvent.
Bojan Z
Depuis 1989, tous deux se retrouvent, inventent, enregistrent et improvisent en partant souvent de
pièces écrites. L’un à l’oreille de l’autre, l’autre à l’écoute de l’un, le geste du piano en écho du
souffle du saxophone, et ainsi de suite. L’évocation du monde d’antan et de demain avec des sons
venus d’ailleurs est bien présente dans leur musique, labourant aussi bien les terres fertiles des
musiques balkaniques que défrichant des territoires sonores plus électriques.

Avec : Bojan Z : piano
Julien Lourau : saxophone

Sous la direction de Michel Bordenet, l’Harmonie municipale s’invite pour la promotion du festival au marché de Voiron. Au programme, des musiques pas tout à fait jazz, mais presque !

Un quartet de jazz, sur fond de vidéo interactive, nous conte l’épopée du jazz de 1920 à nos jours.
De souvenirs en souvenirs, Mamajazz nous entraîne dans sa folle histoire du jazz. Il faut dire qu’elle a
connu Louis Armstrong, Ella Fitzgerald, Miles Davis…, qu’elle a voyagé de la
Nouvelle-Orléans à New York, en passant par le Chicago d’Al Capone. Oscar le perroquet, compagnon
effronté et facétieux de Mamajazz, ne peut s’empêcher de mettre son grain de sel et de pimenter ses
propos.

Avec : Fred Gardette : saxophone, trombone, voix
Pascal Mériot : guitare, banjo
Franck Detraz : contrebasse, basse, sousaphone
Erwan Bonin : batterie, washboard
Réalisation vidéo : Laurent Foudrot
Mise en scène : Greg Truchet
Conception lumière : Virginie Coze
Voix : Harry Holtzman, Greg Truchet

C’est le 7ème stage organisé par le Conservatoire de Voiron à destination des musiciens amateurs. Le concert des soixante stagiaires sera le point d’orgue de cette journée riche en échanges, créations et partages.

« Charlebois, une icône à la voix unique ! »

Auteur-compositeur, musicien et interprète québécois, Robert Charlebois est devenu en 50 ans de carrière une figure emblématique de la chanson francophone. Il remonte sur scène pour un concert électro-acoustique accompagné de cinq musiciens afin de reprendre ses plus grands classiques.

En avant première. « Due soldati » de Marco Trullio Giordana
présenté par le conseiller artistique spécialiste du cinéma italien Jean Gili
et du réalisateur.
La séance donnera lieu à un échange après la projection du film

Le trompettiste, José Caparros, rejoint le Fabien Mille Trio, pour ce concert autour de thèmes de
Dizzy Gillespie. Dizzy, trompettiste de l’époque « be-pop » a été un précurseur en introduisant la
culture cubaine dans le jazz. Ce quartet se réapproprie ce répertoire métissé, avec brio et complicité.

Avec José Caparros : trompette
Fabien Mille : piano
Laurent Courtois : contrebasse
Lionel Grivet : batterie