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Mythe fondateur de la pensée occidentale, l’histoire de Tristan et Yseult est ici racontée comme un voyage dans les littératures européennes du Moyen Âge. Julien Gauthier et Juliette Rizoud donnent vie au couple mythique, mais se font aussi les porte-paroles des multiples conteurs qui ont ajouté leur plume à l’histoire.

Alors que Tristan ramène Yseult à son oncle, le Roi Marc, pour qu’il l’épouse, les deux jeunes gens boivent par accident un philtre d’amour. Aussitôt, ils sont saisis l’un pour l’autre d’un amour fou auquel rien ne peut faire obstacle.

D’après Béroul et d’autres conteurs du XIIe siècle

Écume est une création sonore mêlant la pluralité des voix, un chœur polyphonique de femmes, la voix lyrique et les compositions vocales de Bertille Puissat et électroniques de Franck Litzler.

Construite sous la forme d’un vaste cycle, une pluralité de voix se joue autour de modes variés et improvisés, de timbres naturels nourris d’un répertoire de chants de tradition classique, savante et orale. Entre chœurs d’ordinateurs, boucles qui se glissent et se refondent, exploration d’effets de voix, une enveloppe sonore et un univers poétique se construisent, l’auditeur.ice est plongé.e dans un bain sonore entre voix oniriques et immersions électroniques.

Perchés sur une sphère en métal gigantesque, les acrobates de la compagnie Solfasirc offrent un spectacle sans limite avec au rendez-vous des figures vertigineuses faisant voler en éclats les lois de la pesanteur terrestre.

En utilisant le cirque comme un langage universel, ce spectacle remet en question la notion d’impossible, suggérant que cette frontière pourrait être franchie si l’on change notre perspective.

Quadrature du cercle explore la marginalité, celle-ci bousculant les règles et permettant alors à ce qui était impensable de devenir pensable. Et si on arrondissait les angles ?

L’œil du prince est cet endroit mystérieux où l’on voit le mieux dans une salle de spectacle, une place réservée au souverain dans l’ancienne tradition théâtrale.
Dans un élan artistique poétique, les corps redéfinissent le nu et peignent un tableau vivant, entrainant un voyage introspectif où chaque geste résonne avec le beau.

C’est une ode à la liberté créative, une invitation à laisser vagabonder notre imagination et à questionner notre rapport à l’art afin d’ouvrir les dialogues.

La table en question, jonchée d’ustensiles de cuisine, objets du quotidien et autres instruments de musique, est une œuvre d’art en soi, de part et d’autre de laquelle se font face, une percussionniste Lou Renaud-Bailly et Claire Diterzi.

Une heure durant, l’une et l’autre nouent un dialogue mêlant lectures, sons et compositions. Dialogue facétieux et ingénieux, mouvant et émouvant, ludique et impudique, ping-pong verbal et musical au fil duquel les chansons de Claire Diterzi se révèlent dans leur plus simple appareil.

Ouverture

La table en question, jonchée d’ustensiles de cuisine, objets du quotidien et autres instruments de musique, est une œuvre d’art en soi, de part et d’autre de laquelle se font face, une percussionniste Lou Renaud-Bailly et Claire Diterzi.

Une heure durant, l’une et l’autre nouent un dialogue mêlant lectures, sons et compositions. Dialogue facétieux et ingénieux, mouvant et émouvant, ludique et impudique, ping-pong verbal et musical au fil duquel les chansons de Claire Diterzi se révèlent dans leur plus simple appareil.