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Seminaire le 20 et 21 mars 2020 de 4 classes par MASTER TUNG CHEN WEI

Seminaire le 20 et 21 mars 2020 de 4 classes par MASTER TUNG CHEN WEI

Un père, une mère, leur fille. C’est l’enfant qui raconte. Elle se souvient de ses parents immigrés décidés à donner à leur fille unique un destin meilleur que le leur, de son père, convaincu que pour échapper à la misère et à l’ignorance, une éducation exemplaire est nécessaire. Elle a dix ans et aimerait juste être comme les autres, s’amuser, rêver, partir en vacances. Son père ne veut pas. Il la surveille, la corrige. Pour son bien…

Loin des clichés, La migration des canards permet de porter un autre regard sur l’immigration. On découvre de l’intérieur les conséquences de l’injonction faite aux immigrés : s’intégrer « sans faire de vague », être conformes aux attentes, à n’importe quel prix, quitte à gommer une part de son identité.

Un récit grave, touchant. Une mise en scène qui ne s’ancre jamais dans le désespoir mais dans une aspiration à la vie et à la liberté.

L’association Rhône-Alpes des amis de St -Jacques propose un temps d’échanges sur les chemins vers Compostelle .
Informations, conseils, projets, partage d’expériences vécues.

Les ouvrières de la soie dans le Pays Voironnais au début du 20ème siècle …

Les ouvrières de la soie ont laissé peu de traces de leurs souffrances, de leurs luttes et de leurs espoirs. L’histoire de ces femmes, ouvrières de la soie dans le Nord Dauphiné pendant la Troisième République, a été longtemps délaissée. La richesse de la documentation relative aux fabriques de soie a permis à Andrée Gautier de faire sortir cette histoire de l’ombre.
Andrée Gautier, conférencière, a soutenu en 1983 une thèse d’histoire contemporaine à l’université de Lyon II: «Les ouvrières du textile dans le bas-Dauphiné…Travaux et luttes de femmes».

Un père, une mère, leur fille. C’est l’enfant qui raconte. Elle se souvient de ses parents immigrés décidés à donner à leur fille unique un destin meilleur que le leur, de son père, convaincu que pour échapper à la misère et à l’ignorance, une éducation exemplaire est nécessaire. Elle a dix ans et aimerait juste être comme les autres, s’amuser, rêver, partir en vacances. Son père ne veut pas. Il la surveille, la corrige. Pour son bien…

Loin des clichés, La migration des canards permet de porter un autre regard sur l’immigration. On découvre de l’intérieur les conséquences de l’injonction faite aux immigrés : s’intégrer « sans faire de vague », être conformes aux attentes, à n’importe quel prix, quitte à gommer une part de son identité.

Un récit grave, touchant. Une mise en scène qui ne s’ancre jamais dans le désespoir mais dans une aspiration à la vie et à la liberté.

Prenez un village, comme n’importe quel village : appelez-le Moret-sur-Raguse. Tout près du Bois de la Sente, sur la route de Landon. Sur la place, le café de la Mairie de la mère Pascale. Dans le virage, la ferme des Riboux. Plus loin, la belle maison des Blandin, le manoir des Reboul. À l’orée du bois, la ferme des Vinchon. Et certainement une église, et, juste à côté, le cimetière… et ses morts…

Tendez l’oreille et écoutez ! Écoutez la voix de ces morts qui racontent leur vie, leurs amours, leurs joies, leurs erreurs et leur ignorance dans cette polyphonie fantasque, où s’entrechoquent des récits qui viennent résonner souvent avec humour sur nos propres vies.

Jeudi 30 janvier 2020 à 14h30 : Mme Thébaud, historienne « Marguerite THIBERT »
Après avec exposé brièvement l’émergence et le développement de l’histoire des femmes dans les années 1970, Mme Thébaud nous rendra compte de la vie d’une femme peu connue mais au parcours exceptionnel : Marguerite Thibert (1886-1982)
Une femme les plus diplômées de sa génération, militante sur 3 fronts (socialiste, pacifiste, féministe)

Prenez un village, comme n’importe quel village : appelez-le Moret-sur-Raguse. Tout près du Bois de la Sente, sur la route de Landon. Sur la place, le café de la Mairie de la mère Pascale. Dans le virage, la ferme des Riboux. Plus loin, la belle maison des Blandin, le manoir des Reboul. À l’orée du bois, la ferme des Vinchon. Et certainement une église, et, juste à côté, le cimetière… et ses morts…

Tendez l’oreille et écoutez ! Écoutez la voix de ces morts qui racontent leur vie, leurs amours, leurs joies, leurs erreurs et leur ignorance dans cette polyphonie fantasque, où s’entrechoquent des récits qui viennent résonner souvent avec humour sur nos propres vies.

Après le succès du Démon de midi, 50 ans et pas une ride, Je préfère qu’on reste amis et Folle Amanda, Michèle Bernier revient seule sur les planches avec un nouveau spectacle mis en scène par sa complice Marie Pascale Osterrieth.

Le moteur de ce nouveau spectacle ?
Lutter contre les « C’était mieux avant », les « Au moins quand j’étais jeune » ou encore les « Pour nos enfants, ça va être terrible ! » qu’on entend partout et qui ne servent à rien.

Comment ?
Par l’humour ! Car mieux vaut en rire que de se laisser entraîner par la morosité ambiante. Parce que de toute façon la seule chose qui importe, c’est le futur. C’est lui que nous allons vivre. C’est lui qui va nous surprendre. Donc « Vive demain ! »