Agenda

Le collectif Poupet’s Gang
vous présente l’exposition
« Corps et âme »

Catherine Grangier
Anne Juge
Marie-Odile Müller
Isabelle Valfort

vernissage vendredi 8 mars 2019

« …L’âme jaillit-elle de nos actes, de nos mains de couturière, de conteuse, de sculpteur, d’écrivain ? Ensemence-t-elle l’invisible de nos créations, de nos tissus, papiers, chiffons et lambeaux ? Est-ce que tout est corps ? Y a-t-il un espace entre l’âme et le corps ou sont-ils indissociables, éternellement unis ?… »

À l’heure où la peur gagne du terrain, où la société semble se replier sur elle-même, Yan Raballand veut questionner le passage de l’immobilisme au mouvement, le soulèvement des corps en quête d’un nouvel élan.

Aux mouvements des 8 danseurs, répondront les trajectoires de 6 projecteurs automatiques, partenaires vivants d’une respiration commune. De l’entrée dans un tunnel, plongée instantanée dans l’obscurité, à sa sortie éblouissante, cette construction lumineuse préalable servira de terrain de jeu à l’écriture chorégraphique.

Révéler une alchimie de relation plutôt qu’une juxtaposition, voilà l’endroit et l’idée philosophique que le contrepoint transporte, à travers la rigueur de sa composition et l’attention sensible des interprètes entre eux. Une délicate précision, un espoir dans le rapport humain.

Après Annette de Fabienne Swiatly, la compagnie Les Transformateurs revient avec Ça marchera jamais, une variation sur le thème de l’échec. « On parle peu de nos échecs et pourtant ils nous marquent d’une manière aussi profonde que nos réussites. Comme Achille, le héros légendaire de la guerre de Troie, nous avons tous nos points faibles. Moi par exemple, mon talon d’Achille c’est la dyslexie.
Je suis un « dys ». J’ai un dysfonctionnement. Et je fais du théâtre. Je fais du théâtre dyslexique.
Dans Ça marchera jamais, je veux décliner théâtralement l’échec avec des mots, des images, du mouvement, de la lumière, de la musique. Je veux que cette variation explore poétiquement les diverses facettes de l’échec, qu’elles soient positives ou négatives. Alors, quand il s’agit d’écrire la note d’intention de ce spectacle, je me dis :
Ça
march
era
jama
is. »
Nicolas Ramond

À l’heure où la peur gagne du terrain, où la société semble se replier sur elle-même, Yan Raballand veut questionner le passage de l’immobilisme au mouvement, le soulèvement des corps en quête d’un nouvel élan.

Aux mouvements des 8 danseurs, répondront les trajectoires de 6 projecteurs automatiques, partenaires vivants d’une respiration commune. De l’entrée dans un tunnel, plongée instantanée dans l’obscurité, à sa sortie éblouissante, cette construction lumineuse préalable servira de terrain de jeu à l’écriture chorégraphique.

Révéler une alchimie de relation plutôt qu’une juxtaposition, voilà l’endroit et l’idée philosophique que le contrepoint transporte, à travers la rigueur de sa composition et l’attention sensible des interprètes entre eux. Une délicate précision, un espoir dans le rapport humain.

Après Annette de Fabienne Swiatly, la compagnie Les Transformateurs revient avec Ça marchera jamais, une variation sur le thème de l’échec. « On parle peu de nos échecs et pourtant ils nous marquent d’une manière aussi profonde que nos réussites. Comme Achille, le héros légendaire de la guerre de Troie, nous avons tous nos points faibles. Moi par exemple, mon talon d’Achille c’est la dyslexie.
Je suis un « dys ». J’ai un dysfonctionnement. Et je fais du théâtre. Je fais du théâtre dyslexique.
Dans Ça marchera jamais, je veux décliner théâtralement l’échec avec des mots, des images, du mouvement, de la lumière, de la musique. Je veux que cette variation explore poétiquement les diverses facettes de l’échec, qu’elles soient positives ou négatives. Alors, quand il s’agit d’écrire la note d’intention de ce spectacle, je me dis :
Ça
march
era
jama
is. »
Nicolas Ramond

L’Europe et l’Amérique entretiennent de nombreux liens musicaux. D’un côté, des figures telles qu’Antonín Dvořák qui effectua une tournée triomphale aux États-Unis et qui acceptera la brève direction du Conservatoire de New York entre 1892 et 1895 et de l’autre, Aaron Copland et Astor Piazzolla qui suivront en France l’enseignement de Nadia Boulanger.

En parlant d’Amériques au pluriel, le programme explore la géographie des deux continents. Si Dvořák explore les influences des Amérindiens du Nord, le reste du programme explore le Far West de Copland, mais aussi l’Amérique du Sud dansante du compositeur vénézuélien Aldemaro Romero ou encore la nostalgie porteña d’Oblivion d’Astor Piazzolla.

Un programme qui transmet l’énergie et les émotions véhiculées par ces musiques, renforcées par l’immédiateté et l’échange qu’offre la configuration d’un orchestre de chambre.

Pour la journée de la femme :

Pour vous Mesdames, trois jeunes femmes à la voix exceptionnelle dans un spectacle hors normes !
Un trio magnifique, remarquable et remarqué que l’on réclame au Canada, en Belgique et en Suisse !
Elles sont douées et charmantes, pleine d’énergie, de fantaisie, de fraicheur de gaieté et d’humour, bref, irrésistibles ! (…) à la fois compositrices, musiciennes et chanteuses, elles sont également de vraies comédiennes ! (…)
FEMINIMES PROUESSES, c’est un show endiablé qui alterne des compositions originales en français et des tubes détournés. Avec ces trois pin-up, mordues de swing et de hard rock, décoiffage et émancipation féminine sont assurés.
Alors venez nous rejoindre le 8 mars pour une soirée inoubliable !!!

P.S. :Monsieur peut venir, bien sûr, et même vous inviter puisque c’est votre fête !

Rocket Man
« A tribute to Elton John »

Elton John est sans doute le plus emblématique des chanteurs pianistes de l’histoire du rock. Avec son parolier Bernie Taupin, ses excellents musiciens, il connaît un succès phénoménal aux US à l’âge de 23 ans, et sort chaque année 2 albums en tête des charts entre 1970 et 1975: Goodbye Yellow brick road est le plus connu mais il y en a tant d’autres !

Ce concert propose une sélection de titres de cette période, et aussi d’albums plus récents, pour rendre compte de la richesse de son univers musical, des ballades aux blues-rocks effrénés, ainsi que la poésie de Bernie Taupin. Durée 1h15

Avec Gildas de Saint Albin, piano, chant, Hélène Avice, guitare basse, Salvator Lunetta, batterie Laurent Ragni, guitare.

« Tout a commencé pour moi en 1983 avec l’album Too low for zero, que j’écoutais en boucle sur mon Walkman. A 18 ans, je m’enregistrais avec les moyens du bord sur ses premiers succès, de Your song à Crocodile Rock. Elton ne m’a jamais quitté, c’est le seul artiste dont je connais tous les albums. Pas question ici de l’imiter, avec les costumes de scène excentriques qu’il portait à cette époque ! Mais plutôt d’interpréter son incroyable musique. Jouir du plaisir de la chanter au piano accompagné par d’excellents musiciens. Et faire découvrir par quelques anecdote

François Morel-Raymond Devos, Raymond Devos-François Morel, et la belle boucle est bouclée… Le nouveau spectacle du comédien emprunte à l’illustre artiste le titre de l’un de ses fameux sketches dans lequel il interroge, avec son talent inégalé, l’univers, la folie de l’existence, l’incommunicabilité.

Fasciné par ce grand clown, François Morel s’est plongé corps et âme dans sa prose pour inventer un spectacle musical en son hommage. Son tact pour évoquer « cet amour de jeunesse », son plaisir du verbe et sa propension à flirter avec la poésie sonnent comme la promesse d’un temps suspendu. S’il reste le souffle coupé devant cet homme en apesanteur, ses mots accompagnés par Romain Lemire donnent le vertige. Le charme de ce duo opère dans ce trio rêvé, comme il opéra déjà dans Hyacinthe et Rose accueillie en 2016, avec Antoine Sahler.

Qui n’a jamais eu envie de plonger dans un tas de feuilles trouvé au bord des trottoirs, de faire une symphonie avec des tiges de fleurs, de voler grâce à des feuilles géantes ?

Dans sa nouvelle création, le Colectivo Terrón porte son dévolu sur la matière fibre, le végétal que nous croisons dans nos quotidiens, nos imaginaires.

Il a choisi de le mettre sur scène, en extraire sa beauté et, par sa forme, toucher nos sens. Avec des matières brutes comme éléments scénographiques, plusieurs disciplines se croisent dans ce Bestiaire : le théâtre corporel, le langage de la matière, mais aussi le clown. La magie opère alors sans illusions ni artifices.